Henry Scott (Université de l’Indiana , USA) et ses collègues ont reconstitué dans leur laboratoire les conditions de pression et de température du manteau terrestre à 200 kilomètres de profondeur. Dans ces conditions extrêmes, les chercheurs ont observé la formation de méthane, lun des principaux hydrocarbures. Il est donc envisageable que des réserves de gaz ou de pétrole existent à de telle profondeur, mais sont-elles exploitables ?
