Ces gastéropodes dont la coquille de 7-8 cm est recouverte de poils étaient jusqu’ici impossibles à différencier à l’oeil nu ou au microscope.
Grâce à une tomographie (technique d’imagerie par scanner), les biologistes Florence Pradillon et Marie-Anne Cambon ont pu visualiser en 3D les escargots, découvrant que l’arrangement et la longueur des poils permettaient de les distinguer.
Cette découverte va permettre aux 2 chercheuses d’étudier le comportement, la capacité physiologique et la répartition de chaque espèce.
Cliquez sur le lien pour découvrir l’étude : https://doi.org/10.1186/s12983-020-00357-x