Le requin pèlerin

Nom commun : Le Requin pélerin
Nom latin : Cetorhinus maximus
Famille : Vertébrès │ Poissons cartilagineux

 

 

12 m (taille adulte).
1m60 à la naissance.

 

5 tonnes.
45 kg à la naissance.

 

Mer de la Manche
Mer Méditerranée plutôt occidentale
Océan Atlantique Nord et Sud
Océan Pacifique Nord et Sud

 

50 ans.

1 à 5 petits.

 

Le requin pèlerin avance la gueule grande ouverte, tel un énorme entonnoir,
et filtre jusqu’à 1 500 tonnes d’eau par heure piégeant ainsi ses proies :
du plancton (petits crustacés et larves) et plus rarement de petits poissons.

 

© Pascal KOBEH / Galatée Films

 

Espèce en danger ?

Le requin pèlerin est classé dans la catégorie espèce « Vulnérable » sur la liste rouge des espèces menacées de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature). Cela signifie que le risque de disparition de l’espèce est « relativement élevé ».
Le requin pèlerin est également inscrit sur la liste des espèces menacées ou en déclin de la Convention pour la protection du milieu marin de l’Atlantique du Nord-Est (OSPAR).
La France l’a choisi, avec 7 autres espèces, pour contribuer à la conservation et à la protection de la biodiversité marine.

 

Restons vigilants !

Le requin pèlerin, deuxième poisson le plus gros du monde après le requin baleine, a longtemps été pêché pour sa chair, son foie, sa peau et, en Asie, pour ses ailerons.
Le requin pèlerin est facile à capturer car il nage à la surface avec une grande lenteur.
En Europe, la pêche est devenue marginale, essentiellement norvégienne.
Mais ces grands poissons sont régulièrement victimes de pêche accidentelle et même de collisions avec des grands navires.

 

 

 

 

La gestation de la femelle requin pèlerin durerait 3 ans !